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Au-pays-de-Goewin.over-blog.com

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Les livres de Goéwin

thriller

Publié le par Goéwin
Publié dans : #Thriller, #Humour, #Chats, #Comédie

Résumé :

Fripon n'est pas un chat ordinaire, et il en a conscience. Suivez cet étrange animal dans sa maison de mafieux, et devenez spectateur de sa vie à travers son aventure poilante qui l'entraînera malgré lui à la découverte de ses origines. Glissez-vous dans la peau d'un chat pendant ces quelques pages, et gardez à l'esprit ces quelques mots d'ordre : « insoupçonné, intouchable, orgueilleux ».

Découvrez ce thriller humoristique dont l'enquête est menée (contre son gré) par un chat qui ne souhaitait rien faire d'autre que dormir...

Mon avis : ♥ ♥ ♥ ♥

Férocement drôle !

Fripon, un magnifique chat blanc très très conscient de sa beauté et de son intelligence supérieure, raconte son histoire qui est une hymne à sa perfection et à son esprit incomparable. Il est l’heureuse possession, oups pardon ! l’heureux propriétaire d’une vaste propriété abritant une famille de mafieux.

Rien ne va plus au pays de la mafia, une somme importante — 500.000 euros — a été volée et Richard dit le Caïd cherche le responsable. C’est sanglant et trash mais vu à travers les yeux de Fripon, cela permet de tenir l’horreur à distance. Et c’est vrai que ce chat est unique : il mène le Caïd par le bout du nez, a des avis bien tranchés sur tout et est capable de comprendre et d’utiliser le langage humain. Égoïste, voleur, manipulateur, fainéant et méprisant mais également attendrissant et émouvant, Fripon nous dresse les portraits décapants des humains qui l’entourent et il nous entraîne avec lui dans ses multiples aventures et son enquête sur ses origines.

On sent que Theo Lemattre s’est bien amusé à écrire les aventures de Fripon et nous nous amusons avec lui. C’est très drôle, plein de cynisme et d’une imagination débordante. Chaque « Chat Pitre » est l’occasion d’une nouvelle aventure mais également d’une leçon de philosophie féline à la Fripon. Un seul petit bémol, il reste encore trop de fautes d’orthographe, de coquilles, mais cela ne gâte en rien le talent de l’auteur.

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Publié le par Goéwin
Publié dans : #CETRO, #Harcèlement, #Thriller, #Fantastique

Résumé :

« David, 14 ans, ne connaît pas l'insouciance de l'adolescence.
Sa vie est rythmée par le harcèlement dont il est victime, les humiliations et les coups que lui dispensent ses pairs sans compter. Le monde qui l'entoure n'a que mépris pour lui, et c'est dans l'indifférence générale qu'il vit un cauchemar au quotidien.

Il ne doit son salut mental qu'à ces moments où, seul, il se retire dans un petit bois abritant un étrange gouffre, sorte de puits naturel apparemment sans fond.

Il se déleste là, dans la profondeur et l'obscurité de la terre, de ses chagrins et ses mauvaises pensées.

Mais que recèle vraiment ce gouffre, nommé par les locaux le "chaudron du mal"? Quels effets auront sur lui ces descentes quotidiennes sous la surface ? »

Mon avis : ♥ ♥ ♥ ♥ ♥

Diabolique ! Un thriller bouleversant !

Cetro nous offre encore une fois un thriller qui est un maelström d’émotions. Je viens de terminer « Abîme » et je suis complètement sous le choc, ce qui est toujours le cas avec les livres de Cédric que je remercie pour l’envoi de ce service presse.

« Abîme » c’est l’histoire de David, 14 ans et demi, odieusement harcelé par d’autres collégiens. Sa souffrance est telle qu’il ne se voit que comme une merde qui mérite ce qui lui arrive et continuer à vivre lui fait horreur. Et la couverture choisie par l’auteur illustre magnifiquement son impression de ne pas exister aux yeux des autres. Depuis la mort de son père alors qu’il avait neuf ans, David a changé du tout au tout et sa vie est devenue un cauchemar. Ses meilleurs moments, il les passe dans la forêt, face à un gouffre à la très mauvaise réputation mais qui, pour lui, se révèle bénéfique : il a l’impression lorsqu’il y descend que cet abîme le purge de toutes les pensées négatives et douloureuses qui l’habitent. Mais qu’en est-il réellement ? Et quelle mystérieuse influence ce gouffre exerce-t-il sur lui ?

Autant dire que nous sommes pris aux tripes dès les premières pages. La souffrance d’un enfant est absolument intolérable. Et c’est pire quand nous sommes dans sa tête comme c’est le cas avec David. Et puis il y a ces moments bouleversants de tendresse et d’amour lorsque David joue la comédie pour ménager sa mère : les stratagèmes et mensonges qu’il invente pour la protéger de la réalité nous émeuvent aux larmes.

Cetro est un magicien. Dès les premières phrases, je suis envoûtée par son style inimitable, mélange de poésie et de crudité. Dans « Abîme » il dénonce le rejet cruel de ceux qui sont différents, la bêtise humaine qui va souvent de pair avec la méchanceté et plus particulièrement le harcèlement dont est victime David. Blessé par la disparition de son père, peut-être trop protégé par Amélie sa mère, doué d’une grande sensibilité, il est devenu la proie rêvée pour des petits caïds dont la bêtise et la méchanceté ont remplacé l’intelligence. Et même s’il est évident que le comportement de David, qui est tétanisé par la peur dès qu’il croise leur regard, les pousse à aller toujours plus loin, où pourrait-il puiser suffisamment d’assurance et de courage pour se rebeller ?

Et puis il y a ces moments poignants où nous sourions attendris comme lors de la rencontre de David avec la famille Lerouge et où nous voulons croire comme lui que la vie va enfin lui sourire et que l’horreur est désormais derrière.

Révoltants encore l’aveuglement et l’inertie des professeurs et surveillants qui laissent faire. Comment peut-on rester indifférents à la souffrance d’un enfant maltraité par ses congénères ? Comment peut-on fermer les yeux ? Ne pas exercer une surveillance, veiller sur lui sachant qu’il a déjà été violenté ? La dernière agression subie par David est insoutenable et il est scandaleux qu’elle ait pu se produire dans l’enceinte du collège. Et j’ai eu envie de hurler « mais putain faites quelque chose ». Qu’au moins quelqu’un réagisse quand David complètement détruit passe devant ses camarades de classe qui ne savent que se moquer, au mieux détourner les yeux !

Cetro dénonce également ces médias qui se repaissent de l’horreur et ne cessent de la mettre en exergue, s’appuyant sur les plus bas instincts d’une humanité qui se complait dans l’horreur des faits divers relatant crimes et infamies. Ces médias répètent à l’infini ces informations qui assurent leur audimat et qui permet à ses lecteurs/téléspectateurs/auditeurs de se révolter et se donner bonne conscience par procuration.

Bouleversant et dérangeant également la prise de conscience que notre cerveau, notre inconscient peuvent être notre pire ennemi. David s’imagine savoir ce que manigancent sa mère et Marc. Et il est effrayant de voir comment leurs paroles, leurs actes sont compris par lui et détournés de leur véritable signification.

Et puis nous basculons dans une autre forme d’horreur avec ce gouffre, nous passons dans le domaine du fantastique, du surnaturel. Et nous avons encore plus peur pour David, le suspense est de plus en plus angoissant. Jusqu’à la fin qui est une grande claque !

Du grand Cetro encore une fois ! L’auteur a une écriture fluide, élégante et efficace. Ses personnages sont attachants — je pense en particulier à David et à sa mère — et vivants. Nous les voyons vivre devant nous. Nous partageons leurs sentiments, nous comprenons leur psychologie. Cetro nous fait vivre de vrais moments de tendresse et il est tout aussi doué pour nous faire basculer dans l’horreur. Les situations qu’il décrit sont criantes de vérité et nous atteignent en plein cœur.

Merci Cetro pour ta plume addictive, pour ton talent à dénoncer les horreurs de notre monde mais aussi pour cette tendresse, cette humanité qui habitent chacun de tes livres.

Je n'existe vraiment qu'à travers leurs brimades.

Abîme

Mais s'ils ont pu te faire tout ça, c'est que tu as accepté. Et moi, je n'accepterai jamais, tu m'entends, jamais. Ils ne peuvent rien contre nous si nous nous rebellons. Leur seul pouvoir leur est conféré par le silence et la résignation de leurs victimes.

Abîme

Leur seul courage résidait dans ma propre lâcheté, et je viens de m'en délester.

Abîme

Ce genre de vermine a toujours existé et sévi dans les écoles et autres établissements publics. Tant qu'ils ne rencontrent pas la personne pour les stopper, ils continuent. Ils se nourrissent du malheur des autres, ce sont des nuisibles.

Abîme

Il faut que tu leur montres que tu n'as pas peur d'eux, David. C'est important. Je sais que c'est plus facile à dire qu'à faire, mais il peut en aller de ta survie. Ces personnes vont toujours plus loin. Ils n'hésitent pas à s'en prendre à la famille, pour obtenir toujours plus. Je sais de quoi je parle, j'ai vécu ça, enfant.

Abîme

Ne pas accepter, jamais.

Abîme

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Publié le par Goéwin
Publié dans : #Thriller, #Profilage

Résumé :

« Alors que plusieurs tempêtes se déchaînent à un rythme effréné sur la petite ville portuaire de Concarneau, dans le sud de la Bretagne, un impitoyable tueur en série, véritable éventreur, vient semer la panique dans la population. Impuissant face à cette vague de crimes que rien ne semble pouvoir arrêter, le commissaire Yves-Marie Plazek, ancien de l’Antigang, doit faire équipe avec le plus célèbre profileur parisien, Martin Lempereur, lui-même aux prises avec un autre serial killer, Yakuza, qui viole et tue ses victimes avant de leur couper l’annulaire. Forts de leurs différences, les deux enquêteurs vont devoir collaborer.

Les deux tueurs, que tout semble séparer, ont néanmoins en commun un machiavélisme diabolique qui leur permet d'échapper à leurs poursuivants respectifs.

De Concarneau à Paris, une double traque commence. Mais tueurs comme enquêteurs ignorent encore qu’un autre point commun, inimaginable, risque de précipiter leur destin. »

Mon avis : ♥ ♥ ♥ ♥ ♥

Magistral, un thriller diabolique, bluffant ! Du grand art !

Je remercie Les Éditions du 38 ainsi que Yan Kellern pour ce Service Presse. J’ai eu envie de découvrir ce livre et son auteur après avoir lu la présentation de Yan Kellern sur le site de son éditeur, une présentation pleine d’humour qui m’a bien fait rire. Il s’agit de son premier thriller et j’ai été totalement conquise. Alors pour la sauvegarde de la courbe démographique de la France et pour le plaisir de vos lectrices et lecteurs, surtout continuez à écrire !

Concarneau. Paris. Deux tueurs en série. L’un, à Concarneau, simule une boiterie et éventre ses victimes en abandonnant son couteau dans la plaie ainsi qu’une carte à jouer sur leur poitrine. Alors qu’il les poignarde, cette petite pensée ne cesse de tourner dans sa tête : « Bâton dur… Rouge… Vrille… Mal… » L’autre, à Paris, surnommé Yakuza, en est déjà à sa septième victime. Les femmes qu’il assassine ont toutes le même type : brunes aux yeux verts, à la poitrine opulente, célibataires. Après leur avoir collé les paupières à la cyanolite, il les viole puis les étrangle et pour finir leur coupe l’annulaire et l’emporte comme trophée. Pour les arrêter, deux hommes : le commissaire Yves-Marie Plazek à Concarneau, Martin Lempereur, profileur, à Paris. Ces deux enquêteurs vont être amenés à travailler ensemble sur les meurtres de Concarneau, à la demande de la hiérarchie de Plazec et de la juge d’instruction, Anneliese Namhong, la « juge de fer ». Ils vont apprendre à se connaître et à s’apprécier.

Yan Kellern a une écriture nerveuse, percutante. Il alterne les phrases très courtes avec d’autres plus longues et cela contribue à donner un récit addictif. De plus, il maîtrise à la perfection le page turning, cette technique qui consiste à faire aller le lecteur de chapitre en chapitre jusqu’à la fin. Ses personnages ne sont pas forcément attachants mais l’auteur nous fait entrer dans leurs têtes. Et c’est passionnant tout autant qu’inquiétant. Les informations qu’il nous fournit sont d’une précision chirurgicale. On sent que Yan Kellern domine son sujet : les autopsies sont criantes de vérité, le médecin légiste ne nous épargne aucune explication et nous avons l’impression d’y assister en direct.

Le tueur de Concarneau, froid, méthodique, rythme ses meurtres avec cette lancinante pensée « Bâton dur… Rouge… Vrille… Mal… » et alors que nous le suivons seconde après seconde dans l’exécution de son rituel, nous n’arrêtons pas d’essayer de comprendre. Avec Yakuza, nous entrons dans sa tête lorsqu’il traque sa future proie et c’est glaçant car l’auteur nous donne l’impression que l’on pourrait rencontrer Yakuza au coin de la rue et accepter de prendre un café avec lui. Cela semble si anodin, tellement naturel et sans danger.

Le tandem Yves-Marie Plazek/Martin Lempereur fonctionne super bien. Les deux hommes, bien que différents, sont sur la même longueur d’ondes et leurs dialogues sont un régal. Leur rivalité les pousse à se dépasser. Martin Lempereur est tout particulièrement fascinant dans sa technique de déduction et sa manière de raisonner qui lui permettent de mettre en lumière de nouveaux indices. Il a des sortes de flashs, de visions de souffrance et de viol, il rentre dans la tête du tueur, devient le meurtrier en quelque sorte.

Le scénario ne cesse de nous entraîner de fausses pistes en coups de théâtre, nous tournons les pages les unes après les autres et nous allons de surprise en surprise. Je n’en dirai pas plus mais j’ai été scotchée par les retournements de situation et la fin.

Conclusion : lisez ce thriller machiavélique, il vous emportera loin, très loin et vous ne le regretterez pas. J’ai hâte de découvrir les prochaines œuvres de Yan Kellern et j’attends donc son roman d’aventures avec impatience.

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Publié le par Goéwin
Publié dans : #Gilles Milo-Vacéri, #Thriller, #Loup, #Légendes Amérindiennes, #Fantastique, #Aventure, #Amour, #Amitié

Résumé :

« Quand Lorenza Beaumont, reporter de guerre, rencontre Grégory Nashoba, homme d’affaires et expert mondial en Canis Lupus, elle ne se doute pas que sa vie va basculer. Elle découvre la personnalité fascinante de Grégory, dernier descendant d’une puissante lignée amérindienne, au cœur d’une mystérieuse légende.

Un attentat à la bombe décime sa famille et le blesse très grièvement. À sa sortie de l’hôpital, Greg n’aura qu’une obsession, retrouver les responsables de ce drame.

La journaliste restera à ses côtés et, de Paris en Afghanistan, des hauts plateaux éthiopiens jusqu’aux États-Unis, ils vont traquer ensemble les meurtriers, aidés par leur ami Pierre Bonnefeu, divisionnaire de Police. Entre trafic d’armes et de stupéfiants, mettant leur vie en jeu face à des tueurs avides et sanguinaires, ils affronteront le pire de l’âme humaine.

Les assassins n’auraient jamais dû s’en prendre à la famille de Grégory, car ils ont réveillé le Gardien de la Terre des Loups, un fauve qui ne connaît ni pitié, ni pardon. »

Mon avis : ✯ ✯ ✯ ✯ ✯

Plus qu’un coup de cœur, un coup de foudre ! Bouleversant, émouvant, poignant ! Exaltant ! Épique !

Je remercie Gilles Milo-Vacéri et Les Éditions du 38 pour m'avoir envoyé « Terre des Loups » en SP. Je viens de le terminer et Greg, Lorenza, Alpha et Riga me manquent déjà. Cela a été un véritable crève-cœur lorsque j’ai tourné la dernière page.

Alors que plongée dans ses pensées, elle s’apprête à traverser la chaussée sans faire attention, Lorenza Beaumont, reporter de guerre, est sauvée in extrémis par Grégory Nashoba, richissime homme d’affaires expert en canis lupus. Très vite, elle va tomber sous le charme de cet homme charismatique qui ne ressemble à aucun autre. Dernier descendant d’une lignée amérindienne pawnee, il est le Gardien légendaire de la Terre des Loups.

Après qu’il ait été grièvement blessé lors d’un attentat à Paris où il perdra deux membres de sa famille, Lorenza ne le quittera plus. L’enquête s’annonce difficile et Pierre Bonnefeu, patron de la DST, ne décolère pas. Aucun indice ni aucune revendication pour l’attentat. À force de recherches, les experts finissent par découvrir que les explosifs utilisés proviennent de matériel britannique et plus spécialement des armes envoyées aux troupes anglaises en Afghanistan. Avec Lorenza, Grégory va se lancer sur la piste des explosifs pour retrouver les assassins et le commanditaire. Cette traque les conduira de Paris au Caire, puis en Éthiopie et enfin en Iran et en Afghanistan où ils seront confrontés à la lie de l’humanité et échapperont de justesse à la mort. De plus le commanditaire et l’assassin n’ont toujours pas renoncé à se débarrasser de Grégory et la traque va se poursuivre jusqu’aux États-Unis.

Gilles Milo-Vacéri nous offre un thriller haletant avec des personnages forts et il ne nous laisse pas souffler une seconde. Les événements s’enchaînent à un rythme trépidant. La description de l’attentat et de ses conséquences est saisissante et nous plonge en plein cauchemar. J’ai physiquement ressenti l’angoisse et la panique de Lorenza. L’auteur nous fait vivre des montagnes russes d’émotion : souffle coupé, joie, horreur, soulagement, émerveillement, colère, frissons, attendrissement, stupeur, dégoût et j’en passe…

C’est également un grand roman d’aventures où l’amour et l’amitié sont au cœur de l’intrigue. Ses personnages au caractère bien trempé sont plus qu’attachants et ils véhiculent des valeurs fortes comme l’honneur, le courage, l’amitié, l’amour… Quant aux méchants, ce sont de vraies pourritures dénuées de toute morale.

Enfin l’auteur a ajouté une touche de fantastique qui ne fait que rendre son thriller encore plus addictif. Et puis il y a les loups et leur magie, Alpha, Riga, toute la meute : je ne veux pas trop en parler pour ne pas spoiler mais la rencontre de Lorenza avec Alpha est vraiment bouleversante, une expérience mystique surnaturelle.

Je suis toujours émerveillée par la richesse des connaissances de Gilles Milo-Vacéri ainsi que la qualité des informations qu’il nous partage. L’écriture est fluide et élégante, pleine de poésie à certains moments et les dialogues sont ciselés. J’ai adoré tout particulièrement ce qui concernait les loups, les légendes et la sagesse amérindiennes. Comme il l’a écrit sur son blog, la disparition des Amérindiens « reste l’un des tout premiers génocides de notre histoire » et c’est vraiment une grande perte pour l’humanité car ils auraient eu tellement à nous apprendre. L’auteur a su nous faire partager son amour des loups et de la culture amérindienne et je souhaite que ce livre touche beaucoup de lecteurs et suscite en eux l’envie de protéger les loups et de respecter davantage Dame Nature, « Mère-Grande » comme ils l’appelaient.

Gilles Milo-Vacéri m’a fait rêver de cette Terre des Loups et souhaiter que ce ne soit pas un rêve mais la réalité. Une chose est sûre, « Terre des Loups » va devenir un de mes livres de chevet au même titre que « Le Petit Prince ».

ils refusaient la disparition des loups, symboles mêmes de l’équilibre naturel des forces de leur Monde.

Je suis quelqu’un de simple et j’ai appris une chose dans la vie, vivre caché est gage de paix et préserve des ennuis. Alors je reste dans l’ombre et anonyme.

J’ai appris à maîtriser ma peur, rien de plus, et le vrai courage, c’est de faire ce qui est juste.

Il est parti faire la paix avec les esprits, appeler sur lui la bienveillance de Mère Grande et libérer l’esprit du Loup.

Il existe des forces naturelles qui nous dépassent complètement et que bien peu d’entre nous connaissent. Grégory Nashoba est le dernier descendant d’un grand guerrier Pawnee et dans ses veines coulent les anciennes légendes et les plus grands mystères.

ils invoquent l’esprit du loup, le gardien de la vérité et de la justice.

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Publié le par Goéwin
Publié dans : #Gilles Milo-Vacéri, #Thriller, #Ésotérisme, #Profilage, #Satanisme, #Fantastique, #Bretagne, #Tueur en série

Résumé :

« Un thriller ésotérique haletant : un suspense épuisant ! »

Décembre 2012, Bretagne.

Un nouveau meurtrier sévit au pays des contes et des sombres légendes, des vents qui malmènent les cœurs et de la brume qui étouffe les âmes. Un meurtrier sans pitié, un meurtrier sacrilège. Un meurtrier qui s’en prend à la source même de la vie : les femmes enceintes. Quatre ont été retrouvées éventrées, le fœtus arraché à leurs entrailles et porté disparu. Réquisitionné pour diriger cette sordide enquête, le commandant Gabriel Gerfaut de la Brigade Criminelle de Paris se rend à Guingamp pour tenter d’élucider ces crimes. Des crimes odieux qui le mènent bientôt sur la piste d’une mystérieuse confrérie extrêmement puissante qui, murmure-t-on, serait au service du grand Maître de l’Enfer : le Diable lui-même…

Que Son règne vienne est la première des enquêtes du commandant Gabriel Gerfaut.

 

Mon avis : ✯ ✯ ✯ ✯ ✯

Coup de cœur ! Un thriller ésotérique ébouriffant avec une note de fantastique et de merveilleux !

La Bretagne est le théâtre de crimes abominables où des femmes enceintes et à terme sont éventrées et l’enfant enlevé. Le commandant Gabriel Gerfaut de la Crim, grand spécialiste des tueurs en série est envoyé sur les lieux ainsi que le lieutenant Adriana Guivarch qui sera son assistante. Va commencer alors une course contre la montre pour tenter d’éviter les prochains meurtres alors que le chiffre des victimes ne cesse d’augmenter. Très vite, Gabriel découvrira qu’ils luttent contre une Confrérie satanique.

Gilles Milo-Vacéri nous entraîne dans la Bretagne des légendes où tout paraît possible. Une fois de plus, je suis tombée sous le charme de son écriture, ici remplie de magie et de poésie, ainsi que de ses personnages. Gabriel Gerfaut se caractérise par son indépendance et il faut bien le dire, son caractère de chien. C’est avant tout un homme libre, plein d’humour et très peu respectueux de la hiérarchie, des ordres ou même des procédures. J'adore ! C’est quelqu’un de profondément humain. Avec Adriana, ils forment un couple d’enquêteurs attachants et efficaces. Gabriel n’en fait qu’à sa tête et ses méthodes d’interrogatoire valent le détour. Ajoutez à tout cela l’humour et vous avez un thriller que je recommande à tous les amoureux des belles lectures. Quant à la fin… elle est vraiment surprenante ! Je ne vous en dis pas plus mais une fois de plus l’auteur m’a scotchée. Et je me réjouis de découvrir maintenant la seconde enquête du commandant Gerfaut…

Dans une enquête, c’est ton humanité qui compte avant tout.

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Publié le par Goéwin
Publié dans : #Karine Giebel, #Thriller, #Folie, #Manipulation, #Suicide

Résumé :

Tu te croyais forte. Invincible. Installée sur ton piédestal, tu imaginais pouvoir régenter le monde.
Tu manipules ? Tu deviendras une proie.
Tu domines ? Tu deviendras une esclave.


Tu mènes une vie normale, banale, plutôt enviable. Tu as su t'imposer dans ce monde, y trouver ta place.
Et puis un jour...
Un jour, tu te retournes et tu vois une ombre derrière toi.
À partir de ce jour-là, elle te poursuit. Sans relâche.
Juste une ombre.
Sans visage, sans nom, sans mobile déclaré.
On te suit dans la rue, on ouvre ton courrier, on ferme tes fenêtres.
On t'observe jusque dans les moments les plus intimes.
Les flics te conseillent d'aller consulter un psychiatre. Tes amis s'écartent de toi.
Personne ne te comprend, personne ne peut t'aider. Tu es seule.
Et l'ombre est toujours là. Dans ta vie, dans ton dos.
Ou seulement dans ta tête ?
Le temps que tu comprennes, il sera peut-être trop tard...

Tu commandes ? Apprends l'obéissance.
Tu méprises ? Apprends le respect.
Tu veux vivre ? Meurs en silence...

Mon avis :

Machiavélique ! Un thriller haletant impossible à lâcher !

Karine Giebel joue avec nous et nous plonge dans l’horreur, au plus profond de la folie. J’ai arrêté toutes mes occupations pour connaître la suite de cette histoire. Impossible de m’arrêter avant la fin. Et durant toute ma lecture, les fausses pistes se sont multipliées. J’ai soupçonné tous les protagonistes de cette histoire, j’avais même bien identifié l’un des suspects mais je me suis aussi demandée tout du long : et si Cloé avait tout imaginé ? Si c’était bien une crise de paranoïa ? Quant à la fin, elle est diabolique à souhait et surprenante malgré tout.

Karine Giebel nous offre un thriller très sombre et qui met à mal toutes nos certitudes. Car ce qui arrive à Cloé pourrait très bien se passer dans la vraie vie et alors comment réagirions-nous ?

Cloé n’a pas une personnalité sympathique : elle est arrogante, dure, méprisante, c’est une arriviste qui a un caractère épouvantable et même si c’est une armure qui cache de profondes blessures, à aucun moment je ne l’ai trouvée attachante. Il en va différemment pour le commandant Alexandre Gomez broyé par la souffrance et désespéré. La machination est en marche et elle est implacable.

Je n’en dirai pas plus pour ne pas dévoiler l’intrigue mais je vous conseille ce thriller angoissant et je gage que vous serez incapables tout comme moi de le lâcher avant la fin.

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Publié le par Goéwin
Publié dans : #Thriller
Résumé :

Thomas ne croit que ce qu'il voit, mais personne ne le croit...
Depuis quelque temps, Thomas fait des rêves atroces. D'épouvantables rêves qui le réveillent en sursaut et morcellent son sommeil qu'il a déjà fragile. Si ce n'était que ça ! Après une séance d'hypnose destinée à régler ses problèmes d'insomnie, il est en proie à des visions. Il se voit, à travers les yeux d'un autre, torturant une jeune femme... Persuadé qu'un meurtre est effectivement en train de se produire, il part à la recherche de la victime. Le cauchemar de Thomas ne fait que commencer.

Sire Cedric, maître en suspense et horreur, rejoint la collection « Sang d'encre » et signe un thriller diaboliquement perturbant.
 


Mon avis :


Cauchemardesque ! Cela commence par le pire des cauchemars et ensuite l'angoisse ne vous quitte plus. Sire Cédric joue avec nos peurs les plus enfouies et le fait avec un tel talent que nous sommes incapables de refermer le livre tant nous avons envie de connaître la suite. A ne surtout pas lire avant de s'endormir ! Sous peine de devenir insomniaque.

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Publié le par Goéwin
Publié dans : #Thriller, #Politique Fiction

Résumé :

« Seuls les petits secrets ont besoin d'être protégés; les plus gros sont gardés par l'incrédulité publique ». Marshall McLuhan

« Trois anciens membres d’une cellule très spéciale des services de renseignement français décident de reprendre du service après une retraite de huit ans, afin d'échapper au « nettoyage » lancé par leurs anciens employeurs.
Dans leur sillage, ils entraîneront un cataclysme mondial qui les dépasse totalement et qui transformera le monde tel que vous le connaissez.
Qui sont vraiment ces trois « repentis » et peuvent-ils combattre le Cercle, ce groupe d’hommes discrets qui semble être aux commandes de la planète ?

« Rémoras » concrétise la mise en commun de deux approches complémentaires du thriller de politique-fiction, la plume se mettant au service d’une histoire inspirée de faits réels qui flirte constamment avec l’actualité.

Saurez-vous même distinguer la réalité de la fiction ? »

Mon avis :

Waouh, bluffant ! J’ai dévoré ce thriller qui m’a sacrément secouée car il est difficile de faire la part des choses entre fiction et réalité. Il commence très fort par l’assassinat programmé de toute une famille – femme, enfant et grand-père – afin que le désespoir pousse le père, Quentin Balard à reprendre du service.

Et j’ai été révoltée par ce mépris des droits, cette monstrueuse indifférence, cette négation de l’être humain.

Quentin veut venger la mort de sa famille et il a l’aide de deux amis, anciens membres des Services Secrets français comme lui, Frédéric Giraud et Philippe Vandercamere. Ce dernier les convainc très facilement que l’assassinat en fait les visait eux en priorité et qu’on essaie de les éliminer. Tous trois décident alors de « disparaître » et d’abattre les responsables.

Et là encore nous nous trouvons devant des meurtres accomplis de sang-froid, préparés et exécutés sans état d’âme. Des meurtres au service d’une idée, d’une cause, d’une mission qui deviendraient souveraines et exonèreraient leurs auteurs de toute responsabilité, c’est une question qui est dramatiquement d’actualité. Pire encore un meurtre commis au nom d’un Etat ne ferait plus du tueur un meurtrier ? Et les victimes ne seraient que des dommages collatéraux ?

Et puis tout s’emballe. Leur première action est suivie d’une vague d’attentats sur toute la planète, attentats tous plus meurtriers et révoltants les uns que les autres et pour lesquels ils font figure de boucs émissaires. Et nous assistons à l’effroyable mainmise d’une petite poignée de richissimes hommes politiques appartenant au très secret « Cercle » sur le sort du monde. La facilité avec laquelle ils manipulent les gouvernements, détournent le pouvoir tout-puissant des médias pour tromper les populations à leur avantage fait froid dans le dos. Et malheureusement, nous n’avons qu’à ouvrir les yeux et les oreilles pour le constater de nos jours. Que savons-nous vraiment de la réalité ? Dans quelle mesure les informations qui nous parviennent sont-elles vraies ?

M.I.A. nous offre un thriller de politique-fiction passionnant. C’est très bien écrit, l’histoire est très bien construite, nos trois héros sont attachants malgré leurs côtés sombres. J’avoue avoir une préférence pour Quentin qui, lui au moins éprouve des scrupules, refuse de tuer par facilité des innocents. Les deux auteurs de Rémoras nous poussent à nous interroger, ils donnent une vie toute nouvelle à ce qu’on appelle les théories du complot.

Conclusion : qui manipule l’autre ? Qui est manipulé ? Et si c’était vrai ? Et si cela s’était passé comme ça ? « Le Cercle » existe-t-il vraiment ? Pourquoi pas ?

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Publié le par Goéwin
Publié dans : #Karine Giebel, #Thriller

Résumé :

« Toujours le même trajet. Istres-Marseille. Marseille-Istres. Sa mère, son travail. La vie de Jeanne est en transit. Elle la contemple en passager. Une lettre suffira à faire dérailler ce train-train morose : " Vous êtes si belle, Jeanne. " Glissée entre deux banquettes, elle l'attendait. Une déclaration. D'amour. De guerre. Car l'homme de ses rêves est un monstre, un tueur sans pitié. Elle sera sa confidente, son épaule. Il sera son âme sœur, son dilemme. Le terminus de ses cauchemars... »

 

Mon avis :

Jeanne est une jeune femme de 28 ans fragile, blessée, habitée par une souffrance bien trop lourde qui l’a conduite à se replier sur elle-même. Elle mène une vie terne et sans surprise entre une mère qui la traite comme une adolescente, un travail au commissariat qui ne l’enthousiasme pas, des collègues au mieux indifférentes, au pire moqueuses, le souvenir destructeur d’un Michel qui est parti et ses voyages en train matin et soir. Le tout rythmé par la question lancinante de « Est-ce que mon sac est bien fermé ? Oui il est bien fermé », une voix dans sa tête qu’elle appelle « l’autre » qui pourrait être la voix de la sagesse et des insomnies dont elle ne vient à bout qu’à coup de somnifères.

Cette vie bien réglée va s’achever le lundi 11 mai. Jeanne découvre une lettre qui lui est adressée, glissée entre deux sièges, là où elle prend place tous les jours. Pour la première fois, quelqu’un la voit, la reconnaît. C’est une déclaration d’amour. Hélas, celui qui lui écrit de si belles lettres et qui s’est donné le nom d’Elicius n’est autre que le tueur qui assassine des femmes de façon atroce et qui a mis toute la police de Marseille sur les dents.

C’était la première fois que je lisais Karine Giébel et je remercie NetGalley ainsi que les Éditions Belfond qui me l’ont fait connaître.

« Terminus Elicius » est un thriller psychologique passionnant mais aussi émouvant. Les personnages sont attachants et on se laisse ensorceler par cette histoire d’amour singulière. L’angoisse ne cesse de monter, on souffre avec Jeanne, on est en plein dilemme, on tremble avec elle et en même temps on se laisse attirer par Elicius. Sa souffrance fait écho à celle de Jeanne.

J’ai lu ce roman d’une seule traite tant l’écriture et les situations étaient addictives, le suspense captivant. Il m’a donné envie de lire les autres œuvres de l’auteur. Un thriller à découvrir absolument !

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Publié le par Goéwin
Publié dans : #CETRO, #Thriller
Résumé :

« Fruit du croisement de la violence et la haine, né dans la souffrance et la froideur, il est différent.
Rien, dans son bagage génétique ou acquis, ne le prédestine à connaître les sentiments inhérents au genre humain.
Pour lui, la vie n'a aucune valeur, et lui-même n'a aucune existence légale.
Il se souvient de tout, au-delà des simples souvenirs d'enfance, jusqu'à ce qu'il a vécu dans le ventre de sa génitrice, comme une vie avant naissance.
Cependant, lorsque d'horribles crimes sont commis dans son entourage, sa mémoire se fait étrangement aléatoire. »
 

Mon avis :

Un thriller ébouriffant, bluffant où l’auteur ne cesse de nous manipuler pour le meilleur et pour… l’horreur !

Dès le début, c’est comme se prendre un coup de poing : on est sonné ! Le narrateur nous partage ce qu’il a vécu dans le ventre de sa mère puis son enfance. Le père est une véritable abomination, la mère ne vaut guère mieux. Le seul amour qu’il connaîtra sera celui de son frère Ernest de cinq ans plus âgé, déficient mental léger, qui lui donnera le nom de Fregory et de sa chienne Dolly qui lui procurera chaleur et premiers soins si l’on peut dire.

Fregory va survivre, il n’a pas d’existence légale mais il est très intelligent. C’est un autodidacte, il n’éprouve peut-être aucun sentiment mais il s’est marié pour se donner l’apparence de la normalité. Sa vie est jalonnée de meurtres dont il se souvient et d’autres dont il n’a gardé aucun souvenir. Et tout le talent de Cédric Veto est là : d’abord, bien qu’il soit un meurtrier, j’ai éprouvé de la tendresse pour son Fregory et j’ai passé toute ma lecture à espérer que ce ne soit pas lui le tueur en série.

Et puis il y a Julie jeune bibliothécaire qui a échappé de peu à un tueur en série appelé l’empailleur, son petit ami Quentin qui lui a sauvé la vie lors de cette agression et est DJ. Ils forment un petit couple adorable. Nous faisons également connaissance avec Eglantine une vieille dame assez antipathique, querelleuse et pilier de la bibliothèque ; Alceste un SDF haut en couleurs ; Camille et Mandy, deux étudiantes pétulantes, adeptes de l’amour vache en paroles ; Sébastien le beau gosse rencontré par Mandy au QI pas très élevé. Nous retrouvons le regard plein de tendresse de Cetro sur tout ce petit monde, les dialogues sont ciselés et débordent d’humour virant au noir parfois.

Avec Fregory, Cetro nous livre une critique acide de Facebook et dénonce le danger de se dévoiler permettant à n’importe quel prédateur de tout connaître de notre vie. « Facebook est mon informateur à domicile, mon fournisseur d’accès à la vie des autres, le google map du cambrioleur et le meetic de l’assassin. »
Il dénonce notre société individualiste où chacun vit pour soi et a peur de son ombre, où l’altruisme a disparu. Il pose la question dérangeante de notre obsession morbide pour les monstres, les démons. Et je me suis demandée ce que cela faisait de moi cette fascination pour les thrillers mais je renverse également la question : qu’est-ce qui pousse un auteur à les écrire ?

Donc un roman très très riche comme toujours avec Cetro et très bien écrit ; un thriller où on est au-delà de l’horreur avec un père qui n’a d’humain que le nom, un tueur en série tellement monstrueux qu’on a du mal à l’imaginer et à travers toute cette horreur des pépites d’amour comme celui d’Ernest pour Fregory, de Quentin et de Julie, des dialogues et des réflexions qui sont des petits bijoux d’humour avec des répliques hilarantes. Et un Cetro en grande forme qui nous mène où il veut et nous fait douter de tout et même du nombre de tueurs, un Cetro qui nous fait passer par toute une gamme de sentiments allant du sourire aux larmes, de l’angoisse au rire, de l’envie de vomir à l’émerveillement… Ce livre est en même temps déchirant à cause de toutes ces âmes perdues, déchues de leur humanité à cause d’une enfance, d’une adolescence fracassées ou d’une rencontre avec l’insoutenable.

– avec Cédric Veto, http://www.cetro.fr/ et https://www.facebook.com/Le-ptit-monde-de-Cetro-717729394922284/.

 

 

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