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Les livres de Goéwin

religion

Résumé :

Jérôme Cordelier est parti à la rencontre de ces chrétiens, catholiques, protestants, orthodoxes qui résistèrent aux nazis et dont les rôles sont de nos jours minimisés.
On a souvent souligné les compromissions avec Pétain et le régime de Vichy des chefs des Églises, à raison, mais sans se souvenir que plusieurs d’entre eux furent aussi reconnus Justes pour avoir sauvé des juifs. On a oublié, surtout, que de nombreux prêtres, pasteurs, religieux, religieuses et une multitude de simples croyants furent parmi les premiers à se dresser contre l’occupant. Certains ont agi sur le devant de l’Histoire – de Gaulle et Leclerc, au premier chef –, la plupart dans un secret absolu.
De la Corrèze jusqu’à Yad Vashem à Jérusalem, cette enquête de terrain, très documentée et nourrie des confidences de survivants, met l’accent sur ces femmes et ces hommes qui se sont engagés, parfois sacrifiés, pour la liberté, leur patrie mais aussi avec la haute idée qu’ils se font de l’humanité. Au nom d’un idéal qui guidait leur vie, ils se sont battus pour que leurs contemporains vivent la leur. Ils n’ont pas toujours combattu au nom de leur foi, mais celle-ci les a pétris, a été constitutive de leur vision du monde et les a soutenus à travers les épreuves. Ces grands témoins peuvent éclairer de leur halo de lumière nos chemins cabossés.

Chronique : ♥ ♥ ♥ ♥ ♥

Passionnant et instructif : des témoignages lumineux porteurs d’espérance !

Tout d’abord je remercie Nicolas Hecht de Babelio Masse Critique ainsi que les Éditions Calmann-Lévy pour leur confiance et l’envoi de ce service presse.

Quand on se penche sur la Résistance et le rôle de l’Église durant l’Occupation, on a tendance à se souvenir surtout de la neutralité du Pape Pie XII qui a veillé à conserver des liens diplomatiques avec tous les régimes, y compris celui des nazis, dans le souci de préserver l’Église allemande et par crainte d’aggraver la situation des catholiques dans tous les pays occupés. Mis au courant des camps de concentration, il condamne les actes mais sans nommer les victimes et les coupables. Il refuse de prendre parti comme en témoigne cette phrase : « Nous laissons aux pasteurs en fonction sur place le soin d'apprécier si, et dans quelle mesure, le danger de représailles et de pressions, comme d'autres circonstances dues à la longueur et à la psychologie de la guerre, conseillent la réserve — malgré les raisons d'intervention — afin d'éviter des maux plus grands. C'est l'un des motifs pour lesquels nous nous sommes imposé des limites dans nos déclarations. » Néanmoins, dans l’ombre, il fait tout son possible pour protéger les Juifs d’Italie et grâce à son action discrète, une rafle sera suspendue et 4 000 Juifs de Rome trouveront asile dans des couvents et collèges catholiques. Ou encore on se rappelle que la grande majorité des évêques français a soutenu le régime de Vichy. Même si là encore, certains, tout en encensant le maréchal Pétain, protégeaient leurs prêtres et religieux actifs dans la Résistance.

Mais en se focalisant sur le Haut Clergé, on fait l’impasse sur la multitude de prêtres, religieux et religieuses, simples croyants, catholiques, protestants, orthodoxes, qui ont tout risqué pour s’opposer à l’Occupant, protéger et cacher des familles et des enfants juifs, organiser des filières d’évasion, faire passer des messages… Et cela était d’autant plus difficile que Vatican II n’était pas encore passé par là. L’obéissance aux supérieurs était la règle. Quant aux femmes, elles n’avaient pas encore obtenu le droit de vote et dépendaient entièrement d’un père, d’un frère, d’un mari. Même si la foi n’est pas forcément le motif premier de leur engagement, elle fait partie de ces hommes et de ces femmes et elle est indissociable de leur action, de leur idéal de liberté, de leur conception de l’humain.

J’ai énormément apprécié « L’espérance est un risque à courir ». Jérôme Cordelier a effectué un énorme travail de recherche et il fait revivre pour nous ces témoins courageux autant que modestes. J’ai été frappée  par leur simplicité et leur humilité. Dans leur esprit, ils n’ont rien fait d’extraordinaire et ont souvent gardé le secret sur leur engagement. Cette parole de saint François de Sales leur convient tout particulièrement : « le bruit ne fait pas de bien et le bien ne fait pas de bruit ». D’ailleurs, à part quelques exceptions, comme le général de Gaulle ou le maréchal Leclerc (de son vrai nom Philippe de Hauteclocque) qui ont occupé le devant de la scène, le père Jacques de Jésus qui est connu du grand public grâce au film « Au-revoir les enfants », le père Maximilien Kolbe canonisé par Jean-Paul II en 1982 ou le père Franz Stock qui accompagna des centaines de prisonniers sur le lieu de leur exécution, la plupart sont très peu connus, voire pas du tout. Même si plusieurs d’entre eux ont été déclarés « Justes parmi les nations » et ont vu leur nom inscrit au mémorial de Yad Vashem.

Au fil des pages, Jérôme Cordelier nous partage ses rencontres avec les témoins encore en vie ainsi que les fruits de ses recherches. Il nous dresse le portrait de ces hommes et de ces femmes discrets qui se sont dressés contre la barbarie. Même s’ils n’en avaient pas forcément conscience, l’espérance était leur moteur. Cette petite fille espérance que Charles Péguy décrit dans « Le porche de la deuxième vertu » : « L'Espérance voit ce qui n'est pas encore et qui sera. Elle aime ce qui n'est pas encore et qui sera dans le futur du temps et de l'éternité. » Et je terminerai par ces phrases de Georges Bernanos dans sa conférence de 1945 qui est trop belle et que je citerai donc intégralement : « Qui n’a pas vu la route, à l’aube entre deux rangées d’arbres, toute fraîche, toute vivante, ne sait pas ce que c’est que l’espérance. L’espérance est une détermination héroïque de l’âme, et sa plus haute forme est le désespoir surmonté.
On croit qu’il est facile d’espérer. Mais n’espèrent que ceux qui ont eu le courage de désespérer des illusions et des mensonges où ils trouvaient une sécurité qu’ils prennent faussement pour de l’espérance. L’espérance est un risque à courir, c’est même le risque des risques. L’espérance est la plus grande et la plus difficile victoire qu’un homme puisse remporter sur son âme…

On ne va jusqu’à l’espérance qu’à travers la vérité, au prix de grands efforts. Pour rencontrer l’espérance, il faut être allé au-delà du désespoir. Quand on va jusqu’au bout de la nuit, on rencontre une autre aurore. Le démon de notre cœur s’appelle « À quoi bon ! ». L’enfer, c’est de ne plus aimer. Les optimistes sont des imbéciles heureux, quant aux pessimistes, ce sont des imbéciles malheureux. On ne saurait expliquer les êtres par leurs vices, mais au contraire par ce qu’ils ont gardé d’intact, de pur, par ce qui reste en eux de l’enfance, si profond qu’il faille chercher. Qui ne défend la liberté de penser que pour soi-même est déjà disposé à la trahir.

Si l’homme ne pouvait se réaliser qu’en Dieu ? si l’opération délicate de l’amputer de sa part divine – ou du moins d’atrophier systématiquement cette part jusqu’à ce qu’elle tombe desséchée comme un organe où le sang ne circule plus – aboutissait à faire de lui un animal féroce ? ou pis peut-être, une bête à jamais domestiquée ? Il n’y a qu’un sûr moyen de connaître, c’est d’aimer.

Le grand malheur de cette société moderne, sa malédiction, c’est qu’elle s’organise visiblement pour se passer d’espérance comme d’amour ; elle s’imagine y suppléer par la technique, elle attend que ses économistes et ses législateurs lui apportent la double formule d’une justice sans amour et d’une sécurité sans espérance. »

Il y aurait encore beaucoup à dire, tout particulièrement sur ces magnifiques témoins méconnus de la résistance, mais j’espère vous avoir donné envie de les découvrir par vous-même en lisant « L’espérance est un risque à courir ».

Les informations utiles

Parution : 14 avril 2021

Versions : numérique & broché

Pages : 292

Prix version numérique : 12,99 €

Prix version broché : 18,50 €

Les liens d’achat

Amazon Kindle : https://www.amazon.fr/dp/B08ZYQFYL5/ref=dp-kindle-redirect?_encoding=UTF8&btkr=1

Amazon broché :https://www.amazon.fr/Lesp%C3%A9rance-est-risque-courir-r%C3%A9sistants/dp/270216675X/ref=tmm_pap_swatch_0?_encoding=UTF8&qid=&sr=

Kobo : https://www.kobo.com/fr/fr/ebook/l-esperance-est-un-risque-a-courir

Éditeur : https://calmann-levy.fr/livre/lesperance-est-un-risque-courir-9782702166758

 

N'hésitez pas à cliquer sur les images afin d'être redirigés sur le site et découvrir les textes qui les accompagnent.

Edmond Michelet

 

Germain Auboiroux

 

https://avantlapree.hypotheses.org/17525
Capitaine de cavalerie Guillaume d'Ussel

 

Pie XII

 

L'appel du Pasteur Boegner en faveur des Juifs en 1942

 

Pasteur Aimé Bonifas

 

Mgr Jules-Géraud Saliège

 

Odile de Vasselot de Régné

 

https://www.cairn.info/revue-archives-juives1-2007-1-page-100.htm

 

Père Maximilien Kolbe

 

Abbé Roger Derry

 

Père Pierre Bockel

 

Abbé Charles Prévost

 

Pasteur Laurent Olivès

 

Abbé Paul Parguel

 

Paul Petit

 

Georges Bernanos

 

Hans et Sophie Scholl

 

Henri Fertet

 

Berty Albrecht

 

Anatole Lewitsky

 

Alice Ferrières

 

Jacques Renouvin

 

Germaine Ribière

 

Jacqueline Fleury-Marié

 

Les Rochambelles : De gauche à droite, en haut: Edith Vézy, Michette Duhamel, Zizon Sicot, Danielle Heintz, Christiane Petit. En bas: Lucie Delplancke, Arlette d'Hautefeuille, Suzanne Torrès, Nicole Mangini

 

Marie-Rose Gineste

 

Mère Marie Skobtsova

 

Sœur Jeanne Chérer

 

Madeleine Barot

 

Maître Charles Bedos

 

Alix Bedos

 

Marietta Martin

 

Véra Obolensky

 

Hélène Roederer

 

Mère Elisabeth de l'Eucharistie

 

Geneviève de Gaulle-Anthonioz

 

Charles de Gaulle

 

Philippe Leclerc de Hautecloque

 

 

Franz Stock Le séminaire des barbelés

 

Yad Vashem

 

Yad Vashem Le Jardin des Justes

 

Charles Péguy

 

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Publié le par Goéwin
Publié dans : #biographie, #livres jeunesse, #religion, #spiritualité, #catholicisme

Résumé :

« Après tout, écrit l'impératrice Zita en 1925, on est heureux d'avoir eu beaucoup d'épreuves : d'abord, elles sont passées et, surtout, on est heureux d'avoir quelque chose à donner au Bon Dieu. »

Née en 1892 et morte en 1989, c'est presque un siècle que Zita a traversé, des fastes de la cour d'Autriche-Hongrie à la pauvreté de l'exil. Succédant à la célèbre Sissi, la dernière impératrice d'Autriche a marqué son court règne (à peine deux ans), durant la Première Guerre mondiale, par sa générosité, sa bonté, son attention aux soldats blessés et aux populations victimes de la guerre. Quand l'Empire s'effondre en 1918, Charles et Zita sont chassés d'Autriche et exilés sur l'île de Madère.

Devenue veuve de l'empereur Charles à trente ans, seule avec ses huit enfants, Zita fait front avec courage et dignité, puisant sa force dans l'Eucharistie et la prière. En 1982, après soixante années d'exil qu'elle a vécues au service de la construction européenne, elle est autorisée à revenir en Autriche, sa « chère patrie ». Elle meurt en Suisse à l'âge de 96 ans, mais c'est en Autriche que ses funérailles officielles ont lieu, en présence d'une foule émue de six mille personnes.

La cause pour la béatification de Zita est introduite depuis décembre 2009.

 

Mon avis : ♥ ♥ ♥ ♥ ♥

Une belle découverte, la biographie d’une femme vraiment extraordinaire.

Je remercie Babelio Masse Critique ainsi que Pierre Téqui Éditeur pour l’envoi de ce service presse. Grâce à eux, j’ai découvert la vie d’une femme vraiment hors du commun. Zita fut la dernière impératrice d’Autriche après Sissi. Sa vie commença comme un conte de fées. Après une enfance heureuse et choyée, elle rencontre à seize ans l’archiduc Charles de Habsbourg-Lorraine qui succédera à l’empereur François-Joseph. Tous deux se marièrent deux ans après leur rencontre, un mariage d’amour ce qui était plutôt rare dans les familles régnantes. Après deux ans de règne qui furent marqués par la Première Guerre mondiale et la lutte incessante de Charles pour obtenir la paix, le 11 novembre 1918, il signe une renonciation temporaire au pouvoir. « C’est la fin de l’empire d’Autriche-Hongrie, après sept siècles d’existence. » Obligés de fuir, ils trouveront d’abord refuge en Suisse, puis à Madère. Ils vont vivre dans la misère et connaîtront la faim et le froid. Charles meurt le 1er avril 1922, laissant sept enfants ainsi que Zita enceinte du dernier. Toute la famille va alors s’installer en Espagne, puis sept ans après en Belgique. Au moment de la Seconde Guerre mondiale, Zita s’installera au Canada. Elle va mettre toutes ses forces dans la lutte pour venir en aide à son pays, l’Autriche, qui a été annexée par l’Allemagne, et ensuite se battra pour la construction de l’Europe. Elle meurt le 14 mars 1989 à l’âge de quatre-vingt-seize ans.

Ce qui m’a marquée d’un bout à l’autre de ma lecture, ce sont la foi et le courage ainsi que l’abandon à la volonté divine qui habitaient Charles et Zita. Jamais ils ne se sont plaints dans leurs épreuves. Avant toute chose, ils étaient deux chrétiens qui mettaient leur foi en action. D’une profonde charité, ils étaient vraiment au service de leur peuple, d’une grande générosité pour leur venir en aide. Zita sera d’ailleurs appelée « l’ange gardien de tous ceux qui souffrent ». Devenue veuve après dix ans de vie commune, elle restera fidèle à Charles jusqu’à sa mort, pensant à lui chaque jour et lui parlant intérieurement. Quatre ans après la mort de Charles, elle deviendra Oblate bénédictine à Saint-Pierre de Solesmes. C’était « une âme sacerdotale » qui éprouvait un grand amour pour l’Eucharistie. « La cause pour la béatification de Zita est introduite depuis décembre 2009 » et Charles a été béatifié le 3 octobre 2004 par le pape Jean-Paul II.

« L’impératrice Zita » est un livre qui s’adresse en priorité aux jeunes mais il intéressera tout autant les adultes. Odile Haumonté a un style fluide, agréable et elle a su me captiver tout au long du récit. Elle m’a même donné envie d’en découvrir davantage.

 

L'impératrice Zita

 

Le mariage de Zita et Charles, 21 octobre 1911

 

Zita et Charles

 

LE DERNIER EMPEREUR D'AUTRICHE CHARLES 1ER ET L' IMPÉRATRICE

 

Zita et ses huit enfants

 

 

la Villa Saint Joseph des Soeurs de Sainte Jeanne d'Arc à Sillery au Québec où l'impératrice Zita et ses enfants ont vécu de 1940 à 1948.

 

Imperatrice-Zita-et-Jean-Paul-2

 

 

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Publié le par Goéwin
Publié dans : #Bouddhisme, #Religion, #Spiritualité, #Pleine conscience, #Méditation, #Paix, #Développement personnel

Résumé :

À travers le récit des épreuves qui ont jalonné sa vie, de son exil forcé du Vietnam, son pays natal, à son combat aux côtés de Martin Luther King pour les droits civiques, Thich Nhat Hanh, le grand maître du bouddhisme, nous révèle son parcours d'artisan de la paix et nous livre un récit très émouvant et plein d'espérance.

Dans La Terre est ma Demeure, récit autobiographique, Thich Nhat Hanh nous révèle son parcours d'artisan de la paix, le cheminement qui lui a permis de prôner la pleine conscience tout autour du monde et qui a fait de lui un chef spirituel. Dans de courtes vignettes, il évoque tour à tour son rapport à la pauvreté et au dénuement, à la guerre et à l'exil, son combat pour les droits civiques aux côtés de Martin Luther King et la création du Village des Pruniers, autant d'expériences qui incarnent son enseignement : la méditation en pleine conscience. On découvre un homme qui mène depuis toujours un combat de chaque instant en faveur de la paix et de la sagesse, un moine révolutionnaire qui a inventé le bouddhisme engagé pour libérer le peuple et abolir l'injustice sociale.
La Terre est ma Demeure, récit émouvant et optimiste, brosse le portrait d'un homme qui aura fait de sa vie un message. " Nous n'enseignons pas que par la parole. Nous enseignons par notre façon de vivre. Ma vie est mon enseignement. Ma vie est mon message. "

 

Mon avis : ✯ ✯ ✯ ✯ ✯

Quand vie et message ne font qu’un…

Je remercie NetGalley ainsi que les Éditions Belfond pour ce Service Presse qui m’a permis de découvrir un autre ouvrage de Thich Nhat Hanh. Homme de paix, Thich Nhat Hanh est un moine bouddhiste vietnamien. Au fil des pages, il nous partage ses souvenirs en chapitres courts, très riches d’enseignement et de sagesse. Les dessins qui illustrent le texte sont apaisants et empreints de poésie. Chaque texte est une application de l’art de vivre en pleine conscience à chaque instant : respirer en pleine conscience ; marcher en pleine ; cuisiner, manger, laver la vaisselle en pleine conscience… Devenu moine à l’âge de 16 ans, il révolutionna l’enseignement et la pratique bouddhiste en fondant une nouvelle communauté engagée dans le but d’ “aider à changer la société et à répondre aux défis de notre époque”. Contraint de s’exiler pour avoir appelé à la paix lors de la guerre du Vietnam, il rencontrera Martin Luther King et œuvrera avec lui. Plus tard il viendra en aide aux boat-people. Réfugié politique en France, il créera le Village des Pruniers, un Centre Bouddhique qui organise des retraites. Je crois que cette citation de Thich Nhat Hanh illustre parfaitement ce qu’il est et ce qu’il vit : « Nous n’enseignons pas que par la parole. Nous enseignons par notre façon de vivre. Ma vie est mon enseignement. Ma vie est mon message. »

Un livre au service de la paix qui nous apprend à vivre pleinement l’instant présent, “ici et maintenant” où que nous soyons, quoi que nous fassions.

Thich Nhat Hanh et Martin Luther King

Thich Nhat Hanh et Martin Luther King

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